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Promis, j'la finirais un jour

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Oswald Schwartze
Promis, j'la finirais un jour 185631vide Oswald Schwartze

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MessageSujet: Promis, j'la finirais un jourPromis, j'la finirais un jour Empty23.04.17 5:45

SCHWARTZE OSWALD



LE CERF

MASCULIN

33 ANS

1 CHAUFAZUR

AVENTURIERS

ISENDALE

MERCENAIRE



Dark Souls II {FEAT CREIGHTON OF MIRRAH}

CARACTÈRE

Description du caractère.


DOMAINE

Je suis d'un premier Chaufazur.
Je ne saurais pas vraiment dire si j'ai un don particulier ou autre, en tout cas, personne ne m'a jamais appris, et je ne suis jamais tombé sur une notice. Parait que ça m'affilie à la Vigie, ou je sais pas trop quoi.
Par contre, j'arrive pas mal à voir dans le noir. C'est grave ?

HISTOIRE

Cela faisait déjà de longues minutes que l’on tambourinait à l’élégante porte de chêne gravé, sans que personne ne réponde ni ne vienne ouvrir.

Les cailloux lancés sporadiquement contre les carreaux du premier étage, puis les uns derrière les autres, puis par grappes n’y avaient rien fait. Les coups à la porte s’étaient vite accompagnés de longues bordées d’invectives – se voulant de moins en moins fleuries - rugies au point de couvrir jusqu’au tonnerre lui-même, mais ça non plus ne semblait pas avoir rencontré un grand succès.  
Bougonnant, l’homme remit sa capuche détrempée sur son crâne chauve, et quitta d’un bond le parvis de la demeure pour faire quelques pas dans la rue. A bonne distance, il sautilla sous la pluie, essaya même de se mettre sur la pointe des pieds en espérant apercevoir la silhouette de sa femme ou d’un servant à l’intérieur. Mais rien n’y fit, à son grand dam, et c’est accompagné d’une nouvelle bordée d’injures qu’il retourna sous le minuscule couvert que lui offrait le porche d’entrée contre la pluie, maudissant copieusement toute la maisonnée.

A l’étage, il aurait été possible d’entendre quelque chose par-dessus cette épouvantable averse, si ça n’avait été des grincements, des gémissements et de tout ce qui constituait la symphonie commune à l’union de deux corps s’entremêlant. Et quand bien même, il s’avérait que la paire d’amants qui se trouvaient là avaient bien mieux à faire que d’aller répondre à la porte.
Mais l’averse se trouva une accalmie.
Et il en fut de même de l’acharnement contre la pauvre porte de chêne.
Le volume de l’affaire se jouant à l’intérieur, en revanche, ne faibli aucunement.

L’homme sur le parvis manqua un battement de cœur, et il lui sembla que ce dernier lui dévalait jusqu’au fond du ventre. Un instant qui lui sembla être une éternité plus tard, il se vit abattre la porte qui lui bloquait le passage d’un coup de botte savamment placé juste au-dessus de la poignée. Son sang ne fit qu’un tour et la blancheur qui s’était un instant imposé à son visage était désormais remplacé par le pourpre de la fureur, alors qu’il enjambait quatre à quatre les marches de l’escalier. Arrivé en haut, il tourna sèchement sur la droite, et abattit d’un nouveau coup de pied la porte qui lui bloquait le passage. Par habitude, il se baissa pour ne pas se prendre la tête dans le linteau, et d’un bond, il se retrouvait soudainement à l’intérieur de la chambre.
A la vue de la masse informe de couettes qui gigotaient au milieu de son lit, il lui sembla manquer un nouveau battement de cœur, puis encore un lorsque les draps dégringolèrent des silhouettes qui s’étaient brusquement relevées d’en dessous, découvrant ainsi un intru, qui lui, se retrouvait à l’intérieur de sa femme.

Des regards consternés s’échangèrent. Les veines de ses tempes gonflèrent et martelèrent son crâne d’une intensité nouvelle, mais le mari éconduit fut néanmoins pris d’une soudaine confusion. L’espace d’un instant, il lui avait semblé que ce corps svelte - presque androgyne - flanqué d’une longue chevelure blonde se mêlant savamment à celle – bien plus sombre – de son épousée n’était autre que celui d’une autre femme.

Clignant des yeux sous l’effet de la surprise, comme s’il observait quelque chose qui jusqu’ici lui avait toujours semblé au-delà même du champ des possibles, l’homme se mura dans une contemplation silencieuse de la silhouette s’étant infiltré dans on lit.  
L’intru lui semblait plus maigrichon que musclé, manquant de courbes là où tout n’aurait dû être que rondeurs ; aussi, il identifia une pilosité faciale hésitante au beau milieu d’une masse de cheveux jaunâtre pendouillant mollement là où elle n’était pas été collée par la sueur ; enfin, il reconnu cette paire d’yeux globuleux couleur de glace, écarquillés et le dévisageant d’une manière horriblement familière, de cette même expression de terreur ahurie dont il l’avait gratifié pas plus tard qu’au petit matin, à l’entrainement des novices.

La rage mêlée à la surprise avait coupé le sifflet du mari pendant de longues secondes, aussi fut-il forcé de prendre une grande inspiration pour ne pas défaillir. Un nom lui brula ardemment les lèvres, et il senti naitre en lui la nécessité d’attraper l’écuyer par le cou pour le défenestrer, alors que ce dernier quittait le lit conjugal pour attraper ses chausses, et qu’il semblait s’apprêter à user de sa gouaille pour invoquer quelques maigres et futiles excuses.
Cependant, le maitre n’eut pas le temps d’attraper son élève, puisque celui-ci décida de s’enfuir de lui-même en sautant par la fenêtre, préférant apparemment se risquer à un tel saut plutôt que de risquer un affrontement direct avec son maitre d’arme.

• • • • • • •

Ce n’est que lorsque le sergent beugla ses ordres que l’escouade sorti de son couvert pour se remettre en marche. Ayant bêtement perdu du temps à rêvasser, Oswald jura entre ses dents et bâcla le bandage supposé empêcher son arcade gauche de lui pisser plus de sang dans les yeux, puis recoiffa son heaume à la hâte. Pressé par les regards insistants des trois arbalétriers censés former avec lui l’arrière du groupe, il sortit à son tour de derrière le chariot retourné, réalisa que le reste des mercenaires avaient déjà pris six bons mètres d’avance sur eux et dans un éclair de lucidité, se jeta soudainement au sol. Une paire de sorts sifflèrent au-dessus de sa tête, et d’un coup d’œil vers l’arrière, il vit le corps de l’un de ses compagnons se tordre d’une horrible façon. Le bruit de la bataille faisant rage autour de lui n’atténua en rien l’horreur des craquements secs qui s’ensuivirent, mais par chance, il avait déjà eu par deux fois aujourd’hui eu l’occasion de se débarrasser du contenu de son estomac, aussi ne fut-il pas trop impacté.

Tachant de ne pas prêter attention au corps démantibulé tombé à côté de lui, le guerrier gris fit de son mieux pour ne pas glisser dans les restes humains qui tapissaient désormais le sol de la forteresse, et observa du mieux qu’il put dans quelles directions fusaient les traits des arbalétriers survivants. Du regard, il débusqua une silhouette malingre ayant pris couverture derrière un morceau de rempart arraché, et remarqua la présence d’un second personnage, engoncé dans une armure flanquée aux couleurs des défenseurs, juste à ses côtés.
Alors qu’il courait dans la direction de ses adversaires, priant à la fois pour que ses alliés visent ailleurs que son dos et qu’ils parviennent à se débarrasser des deux enquiquineurs avant que le mage ne trouve moyen de lancer un nouveau sort meurtrier, Oswald détailla quelques secondes le guerrier qui lui barrait la route. Une armure faite de bric et de brocs rapiécé, ce qui signifie qu’il est surement mercenaire, et que je n’aurais pas trop à chercher de point faible évident pour pouvoir lui planter quelque chose dans les boyaux. Et puis c’est un grand gaillard, et plutôt jeune. Il ne doit pas avoir tant de batailles que ça au compteur.

Une paire de carreaux sifflèrent non loin de lui, un partit s’écraser contre le sol de pierre, derrière le guerrier, l’autre se planta dans son bouclier de peau. Voyant Oswald se rapprocher plus qu’il ne l’aurait voulu, le mercenaire leva la lance qu’il tenait dans son autre main et la tendit droit sur lui. Il a mordu à mon attaque frontale. Parfait.
Tachant de laisser un maximum de temps à son adversaire pour porter loin de lui le tranchant de son arme, Oswald fit un pas de côté, et bien qu’il se retrouvât le temps d’une respiration à offrir son dos, il mit ce qui lui restait de force dans les bras et frappa un bon coup.
Le tranchant de sa hache arracha quelques étincelles sur l’épaulière du jeune mercenaire, et fila se planter droit dans son cou. Le guerrier en gris sut même avant d’entendre beugler le garçon qu’il n’avait pas réussi à trancher suffisamment loin pour le gratifier d’une mort rapide, le contact avec l’épaulière ayant suffisamment amorti son coup pour qu’il ne parvienne pas à passer la maille protégeant sa nuque. Il était tombé à genou et avait lâché ses armes, essayant en vain de comprimer le flux de sang qui jaillissait du coté de sa tête. Oswald ne comptait pas lui laisser le temps de se rendre compte que la blessure n’était qu’assez superficielle, aussi le poussa-t-il à terre d’un coup de pied, et prenant soin de s’offrir un nouvel élan, abattit violemment le tranchant de son arme entre les deux yeux du garçon.

Oswald eu tout juste le temps d’éclaircir sa vision pour voir que les arbalétriers lui faisaient de grands signes, pour finalement se mettre d’un bond à couvert. Un murmure vint alors jusqu’à ses oreilles, et il se sentit comme dégringoler, alors qu’il assistait, incrédule, à l’envol de certains de ses propres membres.
Ce n’est que lorsqu’il heurta le sol qu’il comprit que tout ce qui se trouvait entre son épaule gauche et sa hanche droite lui avait été arraché par un sort. C’est dommage. J’aurais peut-être dû m’occuper de lui avant d’achever l’autre. Un voile rouge lui passa devant un œil – son pansement à l’arcade n’avait pas tenu, finalement – aussi essaya-t-il de balayer le sang, mais son bras gauche n’étant plus, l’ordre se perdit au fin fond de son système nerveux. Il ferma les yeux. Ainsi, le voile rouge passa au noir, puis tout s’éclaircit peu à peu.
Il revoyait comme s’il les revivait les mauvais choix qui l’avait mené jusqu’à cette triste fin.

Les belles phrases du Père Cuculus, qui estimait qu’en tant que septième fils d’un petit seigneur de campagne, il lui faudrait travailler dur pour faire ses preuves et mériter plus que les autres pour se faire bien voir. Son dédain tout naturel pour l’héritage déjà maigre pour un seul héritier. Son enrôlement presque forcé dans l’Ordre après le grand carnage de la capitale, la joie de la famille en voyant un de ses membre revête l’uniforme. Les années de calvaire à supporter des instructeurs plus autoritaires les uns que les autres, le plaisir ironique d’avoir réussi à atteindre jusqu’à son honneur de mari, et celui de la fuite qui n’avait pas eu de cesse depuis lors. Avoir une formation militaire plus que correct avait fait de lui un parfait candidat pour rejoindre chacune des troupes de mercenaires avec qui il avait pu faire un bout de chemin jusqu’ici.
Quoi qu’on en dise, il l’avait bien dit que se mettre en chasse d’une bande de mage renégat calfeutré dans un vieil donjon en ruine, c’était mauvaise idée.
Au moins allait-il mourir d’une mort qu’il avait plus ou moins choisi.
Avec la satisfaction d’avoir eu raison, presque de bout en bout.

• • • • • • •

Les yeux perdus dans le vague, fixé sans l’être vers une gravure représentant un soleil disparaissant derrière l’horizon, dans les derniers instants du crépuscule, Oswald se senti presque porté par la nostalgie, en revisitant tous ses vieux souvenirs, ses mains parcourant inconsciemment le tracé des grandes cicatrices zébrant son corps par-dessus ses vêtements. Ce n’avait pas été la première fois qu’il échappait de peu à la mort, ça n’aurait pas été la dernière, mais c’était pour sur la blessure la plus sérieuse qu’il avait encaissé – si tant est que se faire couper en deux soit encore considérer de l’ordre de ce que l’on pourrait appeler blessure. Il avait appris deux choses, ce jour-là. D’une : il semblait bien qu’il n’y avait rien que magie ne saurait faire. A son réveil, il avait eu du mal à croire que ce qui l’attendait après soit aussi similaire à ce qu’il avait connu, et que de surcroit, son corps lui ferait aussi mal. De ce qu’avaient dit les guérisseurs, c’était presque un miracle qu’ils soient arrivés en renfort à temps pour le trouver, lui et sa moitié manquante, et c’en était un deuxième d’avoir réussi à le rafistoler de telle manière. Bon, on va pas non plus dire qu’il n’y a pas eu de conséquences. Tout juste ce qu’il faut d’organes en plus ou moins bon état de marche pour rester en vie, des douleurs partout, et … Bon dieux, combien de fois ai-je eu l’impression que mon corps allait se disloquer, pendant la convalescence ?
Mais il avait fini par se remettre debout, et quelques années plus tard, il était retourné sur les champs de bataille qui voulaient bien de lui. Et puis comprenant qu’il n’était plus capable de tenir le rythme de la piétaille standard, il s’était retiré du marché des mercenaires pour monter sa propre petite affaire.
Soudainement, le souvenir de ce pourquoi il était ici et ce qu’on attendait maintenant de lui lui sauta au visage. Il repoussa sa mémoire dans un petit coin de son esprit, et tacha de se concentrer du mieux qu’il put sur l’instant présent.

D’un coup d’œil en arrière, Oswald vit les mines tantôt intriguées, tantôt impatientes des mages qui s’agglutinaient dans son dos. Il fit mine de les ignorer encore un peu et déploya ses meilleurs talents d’acteurs tandis qu’il continuait à scruter le vieux mur. Finalement, lorsqu’il les sentit sur le point de lui faire une remarque, il poussa un levier qu’il avait peut-être déjà dû pousser trente fois auparavant, et tacha d’être aussi stupéfait que ses clients. Un pan du mur glissa sur le côté, révélant un passage aussi sombre que poussiéreux.
Il assura au petit groupe de mages que les prochaines salles ne présentaient rien de dangereux, si ce n’était le risque de mort d’ennui qu’on pouvait prendre en s’intéressant aux stèles attachées au mur. La moitié d’entre eux qui n’était pas déjà partis dans l’encadrure du passage gloussèrent, puis emboîtèrent le pas à leurs compagnons. D’un pas lent, Oswald les suivit, fit deux pas à travers l’encadrure du passage et pris bien garde de s’arrêter juste devant un escalier s’enfonçant encore plus profondément dans les entrailles de la terre. A vrai dire, je pourrais finir par être curieux de ce qui peut bien se trouver au-delà de cet escalier. Cela fait quelques années maintenant que j’organise ces expéditions dans les ruines, il serait peut-être temps que je pousse moi-même l’exploration un peu plus loin.

Enfin, quand je dis « moi-même » …


Une demi-minute avant ce qu’il avait prévu, Oswald entendit plusieurs cris terrifiés remonter du fond de l’escalier, et pu constater avec une certaine satisfaction que maintenant qu’ils avaient fait la macabre découverte de ce qui se tenait au bout de ces marches, chacune de leurs torches semblait faire mine de remonter. D’un geste nonchalant, le mercenaire tendit le bras vers le mur le plus proche, fit coulisser une stèle sur le côté, puis la pressa. Une série de bruits secs se firent entendent dans le lointain, puis commencèrent à se rapprocher dangereusement. Un premier cri retentit, puis un second, dans la seconde qui suivit.
Comme de juste, aucun de ses clients ne parvint à remonter jusqu’en haut des escaliers avant que les grandes lances rouillées sortant des deux murs l’encadrant ne claque une dernière fois, juste devant Oswald. Il relâcha la pression qu’il maintenait sur la stèle et la remit dans sa position initiale. Dans un grand mouvement uniforme, les piques disparurent à travers les murs, comme si elles n’avaient jamais existé. Et maintenant, la partie la plus laborieuse du boulot …

Quatre heures plus tard, une silhouette vêtue d’un tabard gris dépenaillé émergeait d’une porte dérobée, au milieu d’un champ de ruine, loin dans la campagne au sud d’Auvent. Elle posa un lourd sac de toile recouvert de taches douteuses ici et là au sol, puit s’afféra à refermer convenablement les portes de son gagne-pain. Ceci fait, il prit cinq minutes pour soulager un besoin bien naturel, et en profita pour réfléchir à sa deuxième règle concernant les mages. A l’époque, son sauvetage avait fait pas mal de bruit, les guérisseurs ayant réussi à le remettre sur pieds n’ayant surement pas manquer l’occasion de s’en vanter. Aussi, dans les semaines qui avaient suivis son sauvetage, Oswald avait eu la visite de nouveaux mages. Ceux-ci avaient commencé à le bourrer de phrases grandiloquentes, comme quoi la bonté des dieux avait voulu qu’il survive pour servir leur volonté, et bien d’autres choses encore. Le respect que le mercenaire avait alors tout juste gagné pour les mages se retrouva ébranlé. Comment des gens qui passaient tant de temps à étudier les mystères de ce qui les entoure pouvaient s’en remettre à de telles doctrines ?
Il finit par y voir un danger, et décida de mettre un maximum de distance entre eux et lui dès qu’il serait sur pied. Puis, il finit par y voir un moyen de faire du profit, et se ravisa. L’idée germa dans son esprit pendant bien des années, jusqu’à ce qu’il tombe par hasard sur les ruines piégées.
De jour au lendemain, des rumeurs commencèrent à fuser à travers la lande sur des ruines d’un temple de mages antique, sur sa localisation supposée et sur les tarifs du guide les faisant visiter.

Sa petite affaire fini, Oswald fini volteface pour récupérer le sac dans lequel il avait entassé les richesses de ces espèces de prêtres mages, qui gisaient désormais avec certains de leurs confrères au fin fond de l’escalier piégé.
Arrivé à son cheval, il se souvint d’une discussion avec ses anciens clients, comme quoi ils étaient propriétaires de leurs chevaux. A l’idée de la pluvalue qu’il allait se faire avec la vente de ces canassons, un large sourire hourla ses lèvres.
Et pour ne rien gâcher, au loin, le ciel s’ornait tout doucement d’une douce teinte orangée, alors que certains nuages viraient peu à peu à une espèce de gris/rose. Content de sa journée, le mercenaire laissa son esprit à corps perdu.
C’est vraiment tout ce qui manque à cette gravure, à l’intérieur.

Quel est ton but en une phrase?


Petite description de qui tu es, toi, joueur, derrière l'écran.
→ Ton pseudo, si tu en as un ; Récemment, on s'est mit à m'appeler Captain. Et j'dois avouer que ça me plait bien.
→ Ton âge, sans obligation ; Plus proche de mes 24 que de mes 23 ... Ah, vieillesse ennemie.
→ Tes hobbies, que tu aurais envie de partager ; Y en a pas mal, et je veux pas vous assommer plus qu'avec ma préz'. J'dirais que je me suis récemment remis à la lecture, principalement de la SF et de la fantasy, m'voyez.
→ Des suggestions face au forum ; A vrai dire, je ne sais pas si c'est ma co' qui merde ou de chrome, mais une prévisualisation sur deux que je lance plante ? Mis à part ça, nope, c'est cool !
→ Cuillère ?

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Fatalité
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MessageSujet: Re: Promis, j'la finirais un jourPromis, j'la finirais un jour Empty17.05.17 22:54

Fiche mise en attente suite à la demande du membre qui est fortement occupé.
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